Ballaké Sissoko a suivi les traces de son père Djelimady : il a choisi la musique et comme instrument, la kora. Le vendredi 26 juillet 2013 à Cajarc, le Mali, son pays natal, était à l’honneur. Il a partagé l’affiche avec Mamani Keïta, Fatoumata Diawara, Tendé Disswat et Pedro Kouyaté. De 21 h à 3 h du matin, les musiciens et chanteurs se sont succédé. Et Ballaké Sissoko aurait dû également jouer le lendemain en compagnie du saxophoniste Manu Dibango. Malheureusement, le concert a dû être annulé à cause des intempéries.
On associe souvent la kora avec votre pays le Mali, mais cet instrument est joué dans beaucoup de pays d’Afrique de l’Ouest. Quelle est son origine exacte ?
Comment vous est venue l’idée de jouer avec le violoncelliste français Vincent Segal ?
A-t-il été difficile de concilier la douceur de la kora et la puissance du violoncelle ?
Avez-vous d’autres projets du même style ?
J’avais rencontré Rokia Traoré en octobre dernier. Elle m’avait dit que les artistes avaient de plus en plus de mal pour jouer dans le Nord du pays. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Pour finir, vous avez joué hier avec beaucoup d’artistes du Mali (Mamani Keïta, Fatoumata Diawara, Tendé Disswat et Pedro Kouyaté). Comment avez-vous perçu l’ambiance et l’accueil du public ?
Propos recueillis par Thomas Arlès
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