Etienne Druon : « La forêt amazonienne exacerbe toutes nos sensations. »

Etienne Druon, après des études d’art et d’architecture, se consacre intégralement à ses passions : le dessin et les voyages. Fasciné par la forêt tropicale et ses habitants depuis tout petit, il raconte dans des carnets bien documentés et magnifiquement illustrés, le Nicaragua, la Guyane ou la forêt amazonienne en général en adoptant une approche d’anthropologue et de naturaliste. Rencontre au 17e Rendez-vous du Carnet de voyage à Clermont-Ferrand le 19 novembre 2016.

Pouvez-vous résumer votre parcours artistique ?

Dans quels pays avez-vous voyagé ?

Qu’est-ce qui vous a le plus marqué dans vos voyages ?

Qu’est-ce que vous préférez dessiner ?

Vous partez seul dans ces voyages ?

Vous êtes vous déjà perdu en forêt ?

Arrivez-vous à être autonome en forêt sur plusieurs jours, y compris au niveau de la nourriture ?

Est-ce que les Amérindiens vous ont transmis des savoir-faire pour survivre en forêt ?

J’ai entendu que la forêt amazonienne était de plus en plus clairsemée, à cause notamment de l’augmentation exponentielle des surfaces agricoles dédiées au soja OGM. Est-ce que c’est vrai ?

Quel est l’impact de cette exploitation massive des ressources naturelles sur les habitants de la forêt ?

Est-ce que l’Etat français intervient dans la lutte contre l’orpaillage sauvage en Guyane ?

Le thème du festival cette année est la ville. Il y a une grande ville en Guyane qui est Cayenne. Comment s’inscrit-elle dans le territoire et quelle est l’ambiance là-bas aujourd’hui ?

Quels conseils donneriez-vous à des personnes voulant explorer la forêt amazonienne de façon libre ?

 

 

 

 

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