High Damage : « Chaque concert doit être une nouvelle rencontre »

Le groupe electro dub High Damage, né de la rencontre de Martin Nathan de Brain Damage et du groupe High Tone était en concert au Bikini de Ramonville le jeudi 17 mai 2012. Rencontre avec Julien, guitariste de High Tone et Martin Nathan avant leur spectacle.
La musique électronique est associée aux travelers. Avez-vous été à une époque des travelers ou avez-vous des amis qui l’ont été ? Que pensez-vous de ce mode de vie ?
Julien :

Martin :

Julien :

Comment vos amis travelers perçoivent-ils votre parcours musical et professionnel ?

Julien :

De nombreuses lois répressives contre les habitations précaires ont été établies ces dix dernières années, notamment la toute récente loi LOPPSI 2. Comment les travelers arrivent-ils à vivre aujourd’hui selon leurs idéaux ?

Martin :

Julien :

Martin :

Julien :

Martin :

La scène electro dub française est très active et très vivante. Comment ce style s’est-il imposé dans le paysage musical français ?

Julien :

Martin :

Quelle est la particularité de la scène dub electro française ? Existe-il une « french touch » dans ce style ?

Julien :

Martin :

Julien :

Votre musique est très influencée par l’Afrique et l’Asie. Vous est déjà-t-il arrivés de jouer sur ces continents. Comment votre musique est-elle perçue là-bas ?

Julien :

Martin :

Julien :

Comment avez-vous été accueillis au Maroc, sachant que le sud a connu une importante vague hippie dans les années 70 et que c’est là-bas qu’est née la musique gnaoui, une musique lancinante, répétitive qui invite à rentrer en transe ? C’est très proche de la vôtre finalement…

Julien :

Martin :

Votre musique est habitée par de nombreux samples. Comment les choisissez-vous et d’où viennent-ils ?

Julien :

Martin :

Comment cela se passe-t-il pour les droits d’exploitation des samples ? Sont-ils libres ou faut-il une autorisation ?

Julien :

Martin :

Vous parliez du marché du disque qui est en train de s’écrouler. Que pensez-vous du téléchargement et sites d’écoute en ligne ?

Julien :

Martin :

Dans certains pays comme le Maroc, le marché du disque n’existe quasiment pas, et certains groupes sont soutenus financièrement par de grosses entreprises privées. Va-t-on en arriver là en France ?

Martin :

Pour Julien, High Tone a réalisé de nombreuses collaborations avec d’autres groupes, essentiellement du label Jarring Effects. Allez-vous travailler avec des musiciens non issus de la scène electro ?

Julien :

Et avec Brain Damage, comptez-vous faire d’autres collaborations ?

Martin :

Propos recueillis par Thomas Arlès

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.