Ariel de Bigault : « Les artistes angolais ne veulent pas parler des malheurs de leur pays. »

Ariel de Bigault, spécialiste des pays lusophones, réalisatrice de documentaires, et éditrice de disques, était présente sur le festival Rio Loco du 13 au 17 juin 2012 à Toulouse. Rencontre.

Les musiciens angolais ont-ils participé à l’indépendance ?

Lors des années ségrégationnistes, est-ce que les musiciens pouvaient s’exprimer librement ?

Le portugais reste la langue dominante en Angola. Y a-t-il un désir de la population, notamment des musiciens, à mettre en avant les langues d’origine du pays ?

Que reste-il de la culture portugaise en Angola ?

Dans les grandes villes, existe-il les infrastructures nécessaires pour que les artistes puissent s’exprimer comme ils le veulent ?

Comment les artistes peuvent participer au devoir de mémoire et instruire leurs auditeurs de l’histoire de leur pays ?

L’Angola a été pendant plusieurs siècles un réservoir à esclaves pour les Portugais. Ils étaient envoyés au Brésil. Comment la culture angolaise a influencé la culture brésilienne ?

Propos recueillis par Thomas Arlès

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