Michel Reilhac, directeur général délégué d’Arte France Cinéma, donne son opinion sur le cinéma roumain : « le CNC roumain a fait le pari de privilégier les jeunes cinéastes. Grâce à cette politique, il y a eu une profusion de très jeunes réalisateurs et scénaristes qui ont eu les moyens de financer leur films. Le coût du cinéma roumain augmente d’ailleurs considérablement. Le cinéma roumain a une esthétique propre : tel un entomologiste, le réalisateur ausculte le quotidien. Le rythme est très lent et il n’y a aucune dimension fantastique, ni onirique. Tout reste très terre-à-terre. »
Paru dans BUCAREST HEBDO
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