Emmanuel Lemaire, dessinateur, raconte un séjour de 8 mois à Rotterdam aux Pays-Bas dans une bande dessinée qui vient de paraître chez Delcourt dans la collection Shampooing. Rencontre au 17e Rendez-vous du carnet de voyage à Clermont-Ferrand le 20 novembre 2016.
Pouvez-vous résumer l’histoire de votre bande dessinée « Rotterdam » ?
Est-ce que c’est la chanson « Rotterdam » de Léo Ferré qui a vous donné envie d’aller là-bas ?
Pouvez-vous résumer votre parcours artistique ?
Il n’y a qu’une seule couleur sur la couverture, un bleu clair. En quoi cette couleur est-elle caractéristique de la ville ?
Avez-vous créé ce bleu à la peinture ou n’est-ce qu’une couleur appliquée informatiquement ?
Avez-vous d’autres projets de bandes dessinées sur des villes ?
Vous disiez que Rotterdam était futuriste. En quoi cette ville est futuriste ?
Comment cette mesure s’applique dans le quotidien ? Je prends l’exemple de travailleurs sédentaires qui ne se déplacent que pour aller au travail ou pour rentrer chez eux. Ce n’est pas forcément facilement applicable dans ce cas-là ?
Vous disiez que votre amie travaillait là-bas. A-t-elle profité de cette mesure ?
La plupart des auteurs ici sont autopubliés. Vous avez été publié chez Delcourt. Est-ce vous qui avez démarché l’éditeur ou est-il venu vers vous spontanément ?
Intéressant, le rapport entre le roman graphique et le futurisme, rencontre moderne d’un art tout neuf avec une ville en mouvement ?
On dirait que l’auteur n’en a pas fini avec cette ville, qu’il a encore encore plein de choses à dessiner pour nous montrer son Rotterdam…