Anciens articles à nouveau disponibles

Suite au lecteur flash devenu obsolète, tous les articles sonores publiés avant octobre 2016 étaient indisponibles. Je viens enfin de régler le problème. Vous pouvez maintenant (ré)écouter mes interviews totalement improvisées aux Estivales de l’Illustration de Sarrant en 2015 :

Gilles Bachelet : « Dessiner des animaux permet de prendre du recul par rapport à la nature humaine. » (dessinateur)

Didier Bardy : « Les livres sont faits pour augmenter l’autre. » (libraire, fondateur du festival)

Carole Chaix : « Mon illustration est totalement libre au départ, mais devient de plus en plus juste lorsqu’elle s’adapte au texte. » (dessinatrice)

Benjamin Chaud : « Faire des trucs drôles pour les enfants, c’est sérieux ! » (dessinateur)

Régis Lejonc : « Il me faut un temps de maturité pour m’imprégner du texte. » (dessinateur)

Les Mamouchkas : « Travailler ensemble n’exclut pas de travailleur seul parfois. » (duo de dessinatrices)

Cyrille Pomès : « Je suis arrivé au moment où la bande dessinée a commencé à être prise très au sérieux. » (dessinateur)

Cécile Roumiguière : « Je tresse des fils entre les souvenirs des gens que je rencontre et ma documentation. » (auteure)

D’autres entretiens ici et là avec :

Ramzi Aburedwan : « La politique d’apartheid menée par Israël est pire qu’en Afrique du Sud. » (compositeur, joueur de bouzouk, chef d’orchestre palestinien. A Toulouse en 2013 )

Dick Annegarn : « Je n’écoute pas de musique, ça me gonfle ! » (chanteur, guitariste, compositeur néerlandais vivant en France. A Toulouse en 2014)

Nawel Ben Kraiem : « La société civile tunisienne est très dynamique. » (chanteuse, compositrice franco-tunisienne. A Cajarc en 2013)

Anouar Brahem : « Le silence est plus parlant qu’on ne le pense : il me permet de donner du sens à la musique et de le mettre en perspective. » (joueur d’oud, compositeur tunisien. En 2012 à Toulouse)

Ariel de Bigault : « Les artistes angolais ne veulent pas parler des malheurs de leur pays. » (réalisatrice de documentaires, spécialiste des pays lusophones française. A Toulouse en 2012)

Rémi Courgeon : « Même un auteur très créatif n’invente rien. » (dessinateur français. A Saint-Orens de Gameville en 2016)

Patrick de Saint-Exupéry : « En ce qui concerne les relations entre Paris et le Rwanda en 1994, on peut parler de collaboration; » (journaliste français. A Couthures-sur-Garonne en 2016)

Magyd Cherfi : « L’Algérie a commencé sa révolution il y a plus de dix ans. » (chanteur, écrivain français. A Ramonville en 2012)

Manu Dibango : « Les artistes ont toujours des carrières en dents de scie ». (saxophoniste, chanteur camerounais vivant en France décédé en 2021. A Cajarc en 2013)

Rencontre avec Nguxi Dos Santos (photographe angolais. A Toulouse en 2012)

Gangbé Brass Band : « Nous essayons de renouveler la culture musicale de notre pays auprès des jeunes. » (fanfare béninoise. A Cajarc en 2014)

Gasandji : « L’Afrique est comme une cocotte-minute ». (chanteuse, guitariste, compositrice congolaise. A Toulouse en 2014)

Arthur H : « la culture caraïbéenne est un chaudron magique dans lequel la langue peut se renouveler ». (chanteur, compositeur français. A Toulouse en 2013)

High Damage : « Chaque concert doit être une nouvelle rencontre » (groupe electro dub français fusionnant High Tone et le DJ Brain Damage. A Ramonville en 2012)

HK et les Saltimbanks : « le culte de la personnalité autour de Mélenchon nous agace. » (chanson métissée française. A Toulouse en 2013)

Jehan : « Allain Leprest respirait le même air que nous, mais ça lui faisait autre chose. » (chanteur et interprète français. A Toulouse en 2016)

Jur : « Enregistrer un disque, c’est laisser une trace. » (chanson théâtrale franco-espagnole. A Toulouse en 2014)

Karimouche : J’ai beaucoup appris avec des handicapés mentaux. » (chanteuse française. A Toulouse en 2013)

Mamani Keïta : « Je vis en France depuis plus de 20 ans, et je n’ai toujours pas la nationalité française. » (chanteuse, compositrice malienne vivant en France. En 2012 à Ramonville)

La Rue Kétanou : « la musique est un langage universel. » (chanson métissée française. En 2013 à Tournefeuille)

Les hurlements d’Léo : « Mano Solo se décrivait comme un journaliste. Il osait dire ce qu’il pensait, et était ancré dans la réalité. » (chanson métissée française. A Ramonville en 2015)

Mass Hysteria : « Stéphane Hessel est un héros ! » (metal français. A Castres en 2013.)

MC Solaar : « Je ne prépare que quand c’est prêt. » (chanteur français. A Couthures-sur-Garonne en 2016)

Oldelaf : « J’animerais bien une émission de variétés avec Didier Super sur France 2 à la place de Michel Drucker » (chanteur français. A Ramonville en 2012.)

Christian Olivier (Têtes Raides) : « Le style Têtes Raides, c’est la liberté ! ». » (chanteur, compositeur français. En 2014 à Ramonville.)

Orange Blossom : « Nous défendons une société multiculturelle qui respecte les libertés de chaque individu. » (musique sans frontières. En 2015 à Toulouse.)

Gabriel Saglio : « Il est important que les artistes véhiculent un message. » (chanteur, compositeur français. En 2013 à Toulouse)

Ballaké Sissoko : « la kora est un instrument du territoire mandingue ». (joueur de kora, compositeur malien. En 2013 à Cajarc)

Sound Sweet Sound : « Le psychédélisme est une porte ouverte sur un monde meilleur. » (rock psychédélique français. En 2014 à Toulouse

The Dillinger Escape Plan : « Notre musique est un croisement entre King Crimson et Sex Pistols » (hardcore metal technique américain. En 2013 à Toulouse. Interview en anglais.)

The Ex : « Notre engagement réside dans tout ce que l’on fait : notre façon de composer, de nous organiser et l’énergie que l’on transmet lors de nos concerts, pas dans ce que l’on dit. » (punk néerlandais. En 2013 à Toulouse. Interview en anglais.)

Rokia Traoré : « Je me bats pour que le Mali reste un pays où différentes cultures puissent cohabiter. » (chanteuse, compositrice malienne. En 2012 à Blagnac.)

Erik Truffaz : « Notre dernier album est un hommage à Ennio Morricone. » (trompettiste, compositeur suisse. En 2013 à Ramonville.

Youssoupha : « Beaucoup de chefs d’État africains perpétuent une certaine idée de la colonisation. » (chanteur français. En 2012 à Ramonville)

Omar Zidia (Ezza) : « Je raconte ce qui me tient à cœur, ce qui me blesse. » (chanteur, guitariste, compositeur nigérien vivant en France. En 2014 à Cajarc.)

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